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Glossaire

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A

ATTENTION : l'azimut des géographes, celui de la boussole, a pour origine le nord (0°), l'est étant à 90°, le sud à 180° et l'ouest à 270°. Cette différence entre azimut astronomique et géographique est source de confusion et il faut bien préciser lequel on utilise !

C

Remarque : En toute rigueur le crépuscule astronomique commence le soir dès le coucher du Soleil. De même, il ne se termine le matin qu'au lever du Soleil, mais la définition ci-dessus est plus commode et on la trouve dans de nombreux ouvrages.

Au nord de la latitude 48,5° il y a une période autour du solstice d'été pendant laquelle le Soleil ne descend jamais en dessous de 18° sous l'horizon, autrement dit il n'y a pas de nuit astronomique. Voir : durée du crépuscule astronomique.

Remarque : En toute rigueur le crépuscule nautique commence le soir dès le coucher du Soleil. De même, il ne se termine le matin qu'au lever du Soleil, mais la définition ci-dessus est plus commode et on la trouve dans de nombreux ouvrages.

D

E

L'éclat apparent est fonction de la luminosité de l'étoile et de sa distance.

L'écliptique et l'équateur céleste, sont inclinés entre eux de 23,5° et se coupent en deux points correspondant aux équinoxes de printemps et d'automne. Le point correspondant à l'équinoxe de printemps est le point vernal, le Soleil y passe en allant du sud vers le nord.

Le terme écliptique, vient d'éclipse. Les éclipses de Soleil ou de Lune ne pouvant avoir lieu que lorsque la Lune se trouve sur l'écliptique (ou en est très proche).

Lors des élongations maximales, Mercure et Vénus nous présentent une phase en quartier (voir les phases de Vénus).

G

H

J

L

M

Attention, l'échelle des magnitudes est décroissante, c'est à dire que les astres les plus brillants ont une magnitude faible ou même négative. Cela est dû à l'origine de cette échelle qui remonte aux Anciens : les premières étoiles que l'on pouvait voir après le coucher du Soleil étaient dites de première grandeur, un peu plus tard apparaissaient les étoiles de deuxième grandeur et ainsi de suite jusqu'à la sixième grandeur.

Depuis le milieu du XIXe siècle on a choisi une échelle logarithmique, introduite par Pogson, de telle façon que les magnitudes correspondent autant que possible aux anciennes grandeurs. Une étoile de magnitude 6 a un éclat apparent cent fois plus faible qu'une étoile de magnitude 1. Entre deux magnitudes, le rapport des éclats est d'environ 2,5 comme l'indique la formule de Pogson : m1-m2 = -2,5 log (E1/E2).

Sirius, l'étoile la plus brillante du ciel a une magnitude négative de -1,4.

Un bon oeil, dans de bonnes conditions, peut atteindre la magnitude 6 voire 6,5.

Dans le système solaire, on utilise aussi la magnitude absolue pour les comètes et les astéroïdes. Dans ce cas, il s'agit de la magnitude apparente qu'aurait le corps à une distance d'une Unité Astronomique du Soleil et de la Terre et avec un angle de phase nul (ce qui d'ailleurs est impossible !).

O

P

Dans le système solaire, les astéroïdes troyens gravitent autour des points de Lagrange L4 et L5 de Jupiter. La sonde SOHO, observatoire solaire, gravite autour du point L1 de la Terre.

Q

R

S

T

En France, notre temps légal est égal à TU+1 en hiver et TU+2 en été.

U

V

Z