|
Glossaire |
A
- Angle de phase : Pour un corps (C) du
système solaire, observé depuis la Terre (T) et éclairé par le soleil (S) c'est
l'angle C-S-T.
Pour la Lune par exemple, l'angle de phase est nul lors de la Pleine Lune (dans le cas
d'une éclipse de Lune centrale, pour être exact).
- Année de lumière ou année-lumière (a.l.) : Unité
de distance (et non de temps !) correspondant à la distance parcourue par la lumière
dans le vide en une année. En gros : 9,5 x 1012
km (300 000 x 365.25 x 24 x 60 x 60).
L'année-lumière est très utilisée en vulgarisation grâce à son aspect symbolique,
mais les astronomes lui préfèrent le parsec : dire, par exemple,
que l'étoile la plus proche du Soleil (Proxima du Centaure) se trouve à 4,2 a.l. est
plus parlant que de dire qu'elle se trouve à 1,3 pc ; on réalise aussitôt que sa
lumière met un peu plus de 4 ans pour nous parvenir.
- Année anomalistique : Durée qui
sépare deux passages consécutifs de la Terre au périhélie.
Elle vaut, en moyenne, environ 365,25964 jours, soit 25 minutes de plus que l'année tropique (pour en savoir plus, voir "La Terre au
périhélie".)
- Année tropique : Temps que met la Terre
pour parcourir son orbite entre deux équinoxes de printemps. C'est l'année que notre
calendrier s'évertue à suivre du mieux qu'il peut. L'année tropique vaut environ
365,24219 jours, soit 20 minutes et 24,3 secondes de moins que l'année sidérale, d'où le nom de précession des équinoxes donné au mouvement de
l'axe de la Terre.
- Aphélie : Point le plus éloigné du Soleil sur
l'orbite, elliptique, d'un corps autour de cet astre. C'est l'endroit où la vitesse du
corps est minimale (vitesse de la Terre à l'aphélie : 29,4 km/s). A l'opposé se trouve
le périhélie.
- Azimut astronomique (a) : Distance angulaire dans
le plan horizontal entre le sud (0°) et la projection de l'astre sur l'horizon, en
partant vers l'ouest (90°), le nord (180°) et l'est (270°). L'azimut et la hauteur sont les deux coordonnées
horizontales.
ATTENTION : l'azimut des géographes, celui de la boussole, a pour origine le nord
(0°), l'est étant à 90°, le sud à 180° et l'ouest à 270°. Cette différence entre
azimut astronomique et géographique est source de confusion et il faut bien préciser
lequel on utilise !
C
- Conjonction : Deux corps sont dits en
conjonction, dans le système solaire, lorsqu'ils ont la même longitude écliptique. Ils sont donc très proches dans
le ciel et leur différence de position n'est due qu'à l'inclinaison des orbites (latitude écliptique). Par extension on peut dire que
trois corps ou plus sont en conjonction, dans ce cas on considère seulement le fait
qu'ils sont apparemment proches dans le ciel.
- Conjonction inférieure et supérieure : Mercure
et Vénus ont leurs orbites à l'intérieur de celle de la Terre. Pour cela, ces deux
planètes ont deux types de conjonctions avec le Soleil :
inférieure lorsque la planète se trouve entre la Terre et le Soleil et supérieure
lorsqu'elle se trouve de l'autre côté du Soleil. (schéma).
- Coordonnées horizontales :
Système de coordonnées locales dans lequel les astres sont repérés par leur azimut et leur hauteur. Pour un astre donné ces
valeurs dépendent de la position géographique de l'observateur et sont modifiées en
permanence au cours du temps.
- Crépuscule : Période située avant le lever
du Soleil ou après son coucher, alors que le ciel est encore éclairé par la diffusion
de la lumière solaire dans l'atmosphère. On distingue trois crépuscules : civil, nautique et astronomique
définis en fonction de la position du Soleil sous l'horizon.
- Crépuscule astronomique : Période pendant
laquelle le Soleil se trouve entre 12° et 18° sous l'horizon. La nuit n'est qualifiée
d'astronomique que lorsque le Soleil se trouve à plus de 18° sous l'horizon. Durant le
crépuscule astronomique la nuit n'est pas tout à fait noire, le soir au début du
crépuscule astronomique (plus rigoureusement, à la fin du crépuscule
nautique), la magnitude 4 peut être atteinte.
Remarque : En toute rigueur le crépuscule astronomique commence
le soir dès le coucher du Soleil. De même, il ne se termine le matin qu'au lever du
Soleil, mais la définition ci-dessus est plus commode et on la trouve dans de nombreux
ouvrages.
Au nord de la latitude 48,5° il y a une période autour du solstice d'été pendant
laquelle le Soleil ne descend jamais en dessous de 18° sous l'horizon, autrement dit il
n'y a pas de nuit astronomique. Voir : durée du crépuscule astronomique.
- Crépuscule civil : Période pendant laquelle le
Soleil se trouve à moins de 6° sous l'horizon. C'est l'heure des astres les plus
brillants : Vénus, Jupiter, Sirius...
- Crépuscule nautique : Période pendant
laquelle le Soleil se trouve entre 6° et 12° sous l'horizon. Pendant cette période on
peut voir à la fois l'horizon et les astres de première grandeur (voir magnitude) ce qui permet aux marins de faire le point à l'aide d'un
sextant. Voir : durée du crépuscule
nautique.
Remarque : En toute rigueur le crépuscule nautique commence le
soir dès le coucher du Soleil. De même, il ne se termine le matin qu'au lever du Soleil,
mais la définition ci-dessus est plus commode et on la trouve dans de nombreux ouvrages.
D
- Diamètre apparent : Distance angulaire des extrémités du diamètre d'un
corps. Il est fonction du diamètre réel du corps et de sa distance. Le diamètre
apparent de la Lune, par exemple, varie entre 29' 22" et 31' 05" par suite de l'excentricité de l'orbite lunaire.
- Distance angulaire : La distance
angulaire, mesurée en degrés°, minutes' et secondes", entre deux points
de la sphère céleste est définie comme l'angle formé
par les directions de ces points et ayant pour sommet l'observateur
E
- Eclat apparent (E) : Il s'agit de la
puissance totale, exprimée en W/m2, reçue par unité de surface.
L'éclat apparent est fonction de la luminosité de l'étoile et de sa distance.
- Eclipse : Terme employé quand un astre en cache
un autre par son ombre. Exemples : éclipses de Lune, éclipses des satellites de Jupiter.
Contrairement aux occultations, les éclipses ne dépendent pas
de la position de l'observateur. L'éclipse de Soleil est un cas particulier : c'est un
abus de langage, il s'agit en fait d'une occultation du Soleil par la Lune.
- Ecliptique : Plan de l'orbite terrestre autour
du Soleil. Sur la sphère céleste, grand cercle dessiné
par la trajectoire apparente du Soleil au cours de l'année. Les planètes et la Lune se
déplacent aussi, à quelques degrés près, le long de l'écliptique.
L'écliptique et l'équateur céleste, sont inclinés
entre eux de 23,5° et se coupent en deux points correspondant aux équinoxes de printemps
et d'automne. Le point correspondant à l'équinoxe de printemps est le point vernal, le Soleil y passe en allant du sud vers le nord.
Le terme écliptique, vient d'éclipse. Les éclipses de Soleil ou de Lune ne pouvant
avoir lieu que lorsque la Lune se trouve sur l'écliptique (ou en est très proche).
- Elongation : Distance
angulaire entre deux corps du système solaire. Par exemple : élongation d'un
satellite par rapport à sa planète ou élongation d'une planète (sous entendu, par
rapport au Soleil).
Dans le cas d'une planète, si son orbite est extérieure à celle
de la Terre, son élongation peut prendre toutes les valeurs (schéma).
- 0° : Le corps est en conjonction avec le Soleil.
- 90° est ou ouest : Le corps est dit en quadrature orientale ou occidentale.
- 180° : Le corps est en opposition
En revanche, Mercure et Vénus dont l'orbite est intérieure à celle de la Terre ont
une élongation maximale.
- Elongation maximale : Les orbites de
Mercure et Vénus étant à l'intérieur de celle de la Terre, la distance angulaire entre le Soleil et chacune de ces
planètes passe par un maximum (schéma).
C'est pour cela que nous ne pouvons voir ces deux planètes que le soir (élongation orientale, à l'est du Soleil) ou le matin
(élongation occidentale, à l'ouest du Soleil). Par suite de l'excentricité des orbites, l'élongation maximale de Mercure
peut varier entre 18° et 28° celle de Vénus entre 45° et 47°.
Lors des élongations maximales, Mercure et Vénus nous présentent une phase en
quartier (voir les phases de
Vénus).
- Excentricité (e) : Nombre qui caractérise
l'aplatissement d'une ellipse. Pour une orbite elliptique, ce nombre est compris entre 0
(cercle) et 1 (parabole). Dans le système solaire, Pluton est la planète dont
l'excentricité est la plus forte (e=0,246) suivie de près par Mercure (e=0,206) à
l'opposé Vénus a l'excentricité la plus faible (e=0,007).
G
- Galaxie : Famille d'étoile pouvant contenir de
100 000 à plusieurs milliers de milliards d'étoiles, reliées entre elles par leur
attraction gravitationnelle. Il existe trois grands types de formes de galaxies, les
elliptiques, les spirales et les irrégulières. Par convention, on attribue un G
majuscule à notre galaxie dont on peut voir la trace dans le ciel sous la forme de la
voie lactée. On estime que la Galaxie est constituée d'une centaine de milliards
d'étoiles, elle a deux galaxies satellites : les Nuages de Magellan, visibles depuis
l'hémisphère sud.
H
J
L
- Latitude écliptique : Dans le
système de coordonnées écliptiques la latitude
d'un astre est l'angle entre la direction de cet astre et le plan de
l'écliptique. Elle vaut 0° si l'astre se trouve dans le plan de l'écliptique et
elle est comptée positivement vers le pôle nord de l'écliptique (90°) et négativement
vers le pôle sud de l'écliptique (-90°).
- Longitude écliptique : Dans le
système de coordonnées écliptiques la
longitude d'un astre est l'angle entre sa projection sur l'écliptique
et le point vernal pris comme origine. Elle est comptée de 0
à 360° dans le sens direct (sens inverse des aiguilles d'une montre, vu depuis le nord
de l'écliptique) qui est celui du mouvement des planètes.
M
- Magnitude (m) magnitude apparente : Mesure de
la luminosité apparente d'un astre.
Attention, l'échelle des magnitudes est décroissante, c'est à dire que les astres
les plus brillants ont une magnitude faible ou même négative. Cela est dû à l'origine
de cette échelle qui remonte aux Anciens : les premières étoiles que l'on pouvait voir
après le coucher du Soleil étaient dites de première grandeur, un peu plus tard
apparaissaient les étoiles de deuxième grandeur et ainsi de suite jusqu'à la sixième
grandeur.
Depuis le milieu du XIXe siècle on a choisi une échelle logarithmique,
introduite par Pogson, de telle façon que les magnitudes correspondent autant que
possible aux anciennes grandeurs. Une étoile de magnitude 6 a un éclat apparent cent fois plus faible qu'une étoile de
magnitude 1. Entre deux magnitudes, le rapport des éclats est d'environ 2,5 comme
l'indique la formule de Pogson : m1-m2 = -2,5 log (E1/E2).
Sirius, l'étoile la plus brillante du ciel a une magnitude négative de -1,4.
Un bon oeil, dans de bonnes conditions, peut atteindre la magnitude 6 voire 6,5.
- Magnitude absolue (M) C'est la
magnitude apparente qu'aurait l'étoile si elle était située à une distance standard de
10 parsecs. La magnitude absolue permet donc de comparer les
luminosités réelles des étoiles.
Dans le système solaire, on utilise aussi la magnitude absolue pour les comètes et
les astéroïdes. Dans ce cas, il s'agit de la magnitude apparente qu'aurait le corps à
une distance d'une Unité Astronomique du Soleil et de la Terre et avec
un angle de phase nul (ce qui d'ailleurs est impossible !).
O
- Obliquité : Angle entre l'axe de rotation
d'une planète et le pôle de son orbite. L'obliquité est à l'origine du phénomène des
saisons.
- Occultation : En astronomie, le terme
occultation s'emploie lorsqu'un astre en cache un autre en s'interposant entre lui et
l'observateur. Exemples : occultations d'étoiles par la Lune, occultation d'un satellite
de Jupiter, soit par la planète, soit par un autre satellite. Voir aussi éclipse.
- Opposition : Deux corps sont dits en
opposition, dans le système solaire, lorsque la différence de leurs longitudes écliptiques est de 180°. Si l'on indique un
seul corps, c'est que l'on parle de son opposition par rapport au Soleil. Par exemple :
Vesta est en opposition tel jour, signifie que l'astéroïde est à l'opposé du Soleil
par rapport à la Terre, donc dans les meilleures conditions pour être observé : plus
près et visible toute la nuit. Notez que seules les planètes extérieures à l'orbite de
la Terre peuvent passer en opposition, Mercure et Vénus ont deux conjonctions. (schéma).
P
- Parallaxe : Angle sous lequel, d'un objet
observé, on verrait une longueur choisie appelée base. En astronomie, la parallaxe
annuelle est définie en adoptant comme base une unité astronomique, perpendiculaire à
la direction d'observation. La parallaxe (annuelle) est dans ce cas synonyme de distance
(voir parsec).
- Parsec (pc) : Unité de distance valant environ
3,26 années de lumière. Le parsec est défini comme la
distance d'où l'on verrait l'unité astronomique sous un angle d'une
seconde (parallaxe d'une seconde).
- Périhélie : Point le plus proche du Soleil
sur l'orbite, elliptique, d'un corps autour de cet astre. C'est l'endroit où la vitesse
du corps est maximale (vitesse de la Terre au périhélie 30,4 km/s). Pour en savoir plus,
voir "La Terre au
périhélie". A l'opposé se trouve l'aphélie.
- Période de révolution sidérale : Temps
que met un corps pour parcourir son orbite, par rapport aux étoiles lointaines.
- Période de révolution synodique : Pour
deux planètes, temps moyen entre deux conjonctions vues depuis
le Soleil. Si l'on parle d'une seule planète, la deuxième est par défaut la Terre, par
exemple : "la période de révolution synodique de Mars est de 780 jours" veut
dire que depuis le Soleil, la Terre et Mars sont en conjonction en moyenne tous les 780
jours (ce qui dans ce cas correspond aux oppositions de Mars vue depuis la Terre).
- Points de Lagrange : Points situés
dans le plan de l'orbite de deux corps gravitant autour de leur centre de gravité commun
et à des endroits privilégiés ou un troisième corps, de masse négligeable, peut
rester en équilibre (voir schéma).
Seuls, L4 et L5 sont stables et à la condition que le rapport de masse entre les deux
premiers corps soit supérieur à 25.
Dans le système solaire, les astéroïdes troyens gravitent autour des points de
Lagrange L4 et L5 de Jupiter. La sonde SOHO, observatoire solaire, gravite autour du point
L1 de la Terre.
- Précession des équinoxes : Mouvement
rétrograde de l'axe de la Terre qui lui fait décrire un cône d'ouverture 23,5° en
25800 ans. Ce mouvement est dû à l'attraction lunaire et solaire sur le
"bourrelet" équatorial de la Terre. Il a plusieurs effets :
- L'étoile polaire change au cours du temps. L'axe de la Terre décrivant un cercle dans
le ciel, le pôle nord se déplace parmi les étoiles ; c'est en 2102 qu'il sera le plus
près de notre étoile polaire actuelle : alpha Petite Ourse. Dans l'ancienne Egypte
c'était alpha du Dragon qui servait de repère et vers 14000 Véga sera une polaire
brillante, mais à quelques degrés du pôle nord.
- Le point vernal se déplace le long de l'écliptique
d'environ 50,3'' par an. Il était dans la constellation du Bélier (d'où le symbole
gamma qui le représente) lorsque
les anciens ont créé le zodiaque, il se trouve actuellement dans les poissons. C'est
encore ce mouvement qui est à l'origine du décalage entre les constellations des
astronomes et les signes des astrologues.
- Les coordonnées équatoriales des astres changent avec le temps. Les cartes du ciel
sont refaites tous les 50 ans et portent le nom de l'équinoxe correspondant (équinoxe
2000 par exemple).
Q
R
- Radiant : Endroit du ciel d'où semblent provenir
les traînées des étoiles filantes d'une pluie météoritique. Il est fonction des
mouvements relatifs de la Terre et des grains de poussières qui suivent l'orbite de la
comète à l'origine de cette pluie.
S
- Sphère céleste : En astronomie il est
commode d'imaginer les astres sur une sphère creuse dont l'observateur occupe le centre
et sans tenir compte de leurs distances à l'observateur. Sur cette sphère céleste, la
distance entre les astres est mesurée en angle : c'est la distance
angulaire.
T
- Trou noir : Corps de densité extrème à la
surface duquel la vitesse de libération atteint ou
dépasse celle de la lumière. Ainsi, même la lumière ne peut s'échapper d'un tel
objet, d'où le nom.
- TU (Temps Universel) : Temps civil du méridien
d'origine (Greenwich). Le temps universel a l'avantage d'être le même pour tous les
habitants de la planète, d'où son utilisation en astronomie.
En France, notre temps légal est égal à TU+1 en hiver et TU+2 en été.
U
- Unité astronomique (UA) : Unité de mesure des
distances dans le système solaire, équivalent à la distance moyenne de la Terre au
Soleil. Sa valeur a été fixée à 149 597 870 km.
V
- Vitesse de libération : Vitesse
minimale à partir de laquelle un corps peut s'échapper de l'attraction gravitationnelle
d'un autre corps plus massif. A la distance "d" du centre d'un corps de masse
"M", la vitesse de libération est donnée par la formule v = (2GM/d)1/2 (G
est la constante de la gravitation : 6,67.10-11, M est exprimé en kg, d en
mètres et le résultat est obtenu en m/s). La vitesse de libération de la Terre, à 100
km d'altitude par exemple, est de 11 km/s.
Z
- Zénith : Point de la voûte céleste situé à
la verticale d'un observateur, vers le haut (à l'opposé, vers le bas se trouve le
nadir). La hauteur du zénith est de 90°.
- Zodiaque : Dès l'antiquité, les anciens
avaient remarqué que les 5 planètes visibles à l'oeil nu et la Lune restaient toujours
proches de la route apparente du Soleil sur la sphère
céleste l'écliptique, dont elles ne s'écartent
jamais de plus de 8,5°. C'est cette ceinture de 17° de large qu'on appelle zodiaque (du
grec Zodiacos "avoir affaire à des animaux" ; Il faut remarquer que la
constellation de la Balance a été formée plus tard à partir des pinces du scorpion).
Le Soleil parcours le zodiaque en passant successivement dans les treize constellations
suivantes : Les poissons au printemps, puis le Bélier, le Taureau, les Gémeaux, le
Cancer, le Lion, la Vierge, la Balance, le Scorpion, Ophiucus, le Sagittaire, le
Capricorne et le Verseau.